Elle doit faire environ 4 à 6 lignes, et disposer d’une à deux étapes élémentaires. En effet, l’ouverture du sujet à un nouvel “horizon” n’est pas une obligation (bien au contraire dans certains cas).
La conclusion est là pour faire le bilan définitivement de la question. Elle reprend de façon synthétique la démonstration menée dans le développement. Bref, toutes vos grandes étapes d’analyse doivent apparaître synthétiquement dans la conclusion. Le bilan est très concis. Par contre, il est interdit d’amener de nouvelles idées ou de nouveaux exemples. Ce n’est plus le moment de réfléchir ni même de justifier vos propos préalables.
Elle procède à un élargissement final : donnez une nouvelle orientation à la pensée, une piste pour des recherches ultérieures. Par contre, cette ultime étape de la conclusion n’est pas une obligation, au contraire. Il vaut mieux clore une conclusion sans élargissement plutôt que d’amener une ouverture sans rapport avec le sujet. En utilisant une figure de style, nous pouvons dire qu’il vaut mieux réaliser une symphonie inachevée plutôt que de terminer une symphonie sur une fausse note…